Interview en vidéo de l'arrière droit de l'USDK

Réalisée le jeudi 7 novembre 2024

Présentation

Bonjour à tous ! Nous sommes le jeudi 7 novembre 2024 et nous sommes ici à Dunkerque, au stade des Flandres, pour une nouvelle interview. Aujourd'hui, j'ai le plaisir d'accueillir un joueur de l'USDK, Gabin Martinez, arrière droit de cette équipe. Comment ça va, Gabin ? Prêt à partager ton parcours de handballeur ?

Je suis prêt !

Parcours de Gabin Martinez

Gabin, merci d'avoir répondu positivement à cette interview. Je vais te demander de te présenter pour que l’audience sache un peu qui tu es. J'ai trouvé quelques informations : tu as 24 ans, c’est ta 7ᵉ saison à Dunkerque. Mais est-ce que tu peux nous parler de ton parcours dans le handball, de tes débuts aux étapes qui t'ont amené à devenir pro à l’USDK ?

Oui, bien sûr. J’ai commencé le handball à 12 ans, quand mon père a été muté à Nice. Je voulais changer de sport, car je faisais du foot à l’époque. En 2012, après avoir vu la France gagner aux JO de Londres, j’ai eu envie d’essayer le handball. J’ai rejoint le club du Cavigal à Nice et j’ai tout de suite accroché. J’aimais bien le changement, la mentalité était différente, et j’ai rapidement aimé ce sport.

Après trois ans, en 2015, mon père a été muté à Bruxelles, mais comme le handball n’était pas très développé en Belgique, j’ai passé des essais pour intégrer le pôle de Dunkerque. Depuis 2015, je suis ici. J’ai commencé en moins de 18 ans Région, puis en moins de 18 France, avec une alliance avec Bousbecque. Ensuite, j’ai joué en N2 avec le centre de formation, avant de signer pro. Je suis aujourd'hui dans ma deuxième année de contrat pro avec l'USDK.

Début de saison de l’USDK

Aujourd'hui, à l’USDK, vous êtes 13ᵉ de la Liqui Moly Star League avec trois victoires et six défaites. Le début de saison a été difficile avec trois défaites malgré un fond de jeu intéressant, mais ensuite, vous avez enchaîné trois victoires, dont la première contre Nîmes. Puis, vous avez subi trois nouvelles défaites contre Créteil, Chambéry et Chartres. Comment analyses-tu le début de saison de l’USDK et l'état d’esprit du groupe face aux objectifs fixés ?

On est forcément déçus. On a un esprit de revanche en ce moment, car on avait l’équipe au complet pour les trois premiers matchs, mais on n’a pas su concrétiser, notamment contre Limoges et Toulouse, où on n’était pas loin. Défensivement, on n’a pas assez soutenu nos gardiens, et sans arrêts, c’est compliqué de gagner quand on encaisse plus de 30 buts par match. On a su redresser la barre ensuite avec trois belles victoires, malgré plusieurs blessés. Mais contre Créteil, par exemple, on a gâché un match qu’on menait de cinq buts et on l’a perdu à la fin.

Contre Chambéry, on fait un gros match, mais on échoue de peu. Lors du dernier match, on est complètement passés à côté. On veut se rattraper et montrer un meilleur visage lors du prochain déplacement à Saint-Raphaël.

Semaine type d’un joueur professionnel pour préparer un match le samedi :

1. Lundi : Retour à l'entraînement. La journée commence avec une séance de musculation le matin, puis une séance de handball l’après-midi.

2. Mardi : Entraînement handball le matin. L’après-midi, c’est souvent une séance à la carte : les joueurs peuvent choisir entre musculation, travail de tirs, cardio ou soins, selon leurs besoins.

3. Mercredi : Repos.

4. Jeudi : Deux séances d’entraînement, en général deux fois du handball. Parfois, il y a aussi une courte séance de musculation entre le matin et l’après-midi pour garantir plusieurs sessions de renforcement dans la semaine.

5. Vendredi : Pour un match à l'extérieur, comme celui contre Saint-Raphaël, il y a une dernière séance d’entraînement le matin. Ensuite, l’équipe part en déplacement l’après-midi.

6. Samedi (jour de match) : La journée débute souvent par un réveil musculaire pour activer les muscles, avant le match le soir.

Déplacement à Saint-Raphaël : Pour les destinations comme Saint-Raphaël et Toulouse, qui sont difficiles à rejoindre en train, l’équipe privilégie l’avion. À Saint-Raphaël, par exemple, ils vont jusqu’à Nice en avion, dorment sur place, et se rendent au match en bus (environ 45 minutes de trajet).

Les autres destinations, comme Paris, sont souvent faites en bus avec le véhicule du club, tandis que les déplacements en France (hors Paris, Nice et Toulouse) se font généralement en train.

La défense en Liqui Moly Starligue : point de vue et préparation d’un joueur

1. Développement défensif et progression personnelle
Au début de ma carrière, la défense était mon point faible. Mes débuts en pro étaient difficiles sur cet aspect. C’est en échangeant avec des joueurs expérimentés, comme mes coéquipiers en club ou des joueurs de l’équipe de France, que j’ai pu travailler mes lacunes. J’ai dû apprendre à mieux m’orienter et, surtout, à aimer défendre, ce qui n’était pas inné pour moi.

Désormais, je trouve du plaisir à défendre, notamment dans les récupérations de balles ou les neutralisations d’attaques adverses. Même si j’ai encore des choses à améliorer, j’essaie d’apporter cette énergie défensive à l’équipe, surtout en période de blessures importantes.

2. Défauts actuels en défense
Un de mes principaux défauts, c’est ma tendance à trop viser les interceptions, ce qui me rend parfois vulnérable face à des passes directes à l’arrière-gauche. Cette concentration excessive sur le ballon me coûte souvent lorsque je perds de vue mon adversaire direct. De plus, mon physique légèrement moins imposant m’oblige parfois à adapter ma technique de défense face à des joueurs plus puissants. Certains adversaires arrivent à me bousculer malgré mes efforts pour les contenir, ce qui est un point sur lequel je continue de travailler.

3. Adaptation de la défense en fonction des profils d’attaquants
Lors du match contre le PSG, j’ai affronté différents profils de joueurs, comme Prandi, Steins, ou Holm, qui exigent chacun des ajustements spécifiques. Par exemple, face à Prandi, qui est très puissant et peut tirer de loin, je dois le presser plus haut pour empêcher ses tirs à distance. À l'inverse, avec un joueur plus agile comme Steins, qui joue beaucoup sur ses appuis, je dois rester prêt à bouger latéralement pour suivre ses changements de direction rapides.

Ces adaptations sont anticipées lors des séances vidéo, où nous analysons les particularités de chaque joueur. Chaque attaquant a ses forces spécifiques : Prandi impose sa puissance, Holm est agile et utilise parfois des techniques comme le 360°, et Baijens, même droitier, peut passer de sa main gauche à sa main droite pour tromper la défense. Ces différences rendent l’adaptation complexe, surtout avec la fatigue au fil du match, mais il est crucial de rester concentré.

Défendre contre un pivot : stratégies et difficultés

Défendre face aux pivots est l’un des aspects les plus complexes pour moi, et cela reste une zone d’amélioration. Lorsque je défends contre un pivot qui gagne sa position, j’ai tendance à essayer de contourner pour passer devant. Cependant, ce n’est pas toujours efficace, car les pivots se placent souvent avec des écrans ou des blocs, même loin de la zone, à environ 9 mètres. Mon entraîneur, Franck Maurice, m’a conseillé une technique pour éviter de perdre ma position trop facilement, en cherchant à tenir mon espace dès le début du duel.

Les pivots imposants comme Gabriel Nyembo, sont particulièrement difficiles à contourner en raison de leur taille et de leur force. Même si j’arrive à les devancer, ils restent capables de recevoir des passes hautes difficiles à intercepter. Les pivots au style différent, comme Aman, sont également complexes à défendre. Ce joueur, par exemple, n’est pas forcément difficile à contourner, mais il a une mobilité exceptionnelle et une prise de balle rapide, ce qui rend la tâche ardue pour rester sur lui et l’empêcher de faire basculer l’action en sa faveur.

Partage du poste avec Tom Pelayo en attaque

Sur le plan offensif, je partage le poste d’arrière droit avec Tom Pelayo, actuellement meilleur buteur de la Liqui Moly Starligue. Tom enchaîne les performances impressionnantes depuis deux saisons, et il sauve souvent l’équipe lors de matchs serrés grâce à ses nombreux buts. Cette situation rend mon temps de jeu en attaque limité et complexe, surtout que sa régularité et son efficacité sont essentielles pour l’équipe.

Lorsque j’entre en jeu, je dois apporter un impact immédiat, ce qui n’est pas toujours facile, surtout après qu’un coéquipier ait marqué plusieurs buts avant moi. Pour progresser, je travaille beaucoup en entraînement, notamment sur les tirs de loin, même si ce n’est pas mon point fort naturel. En début de saison, malgré mon temps de jeu restreint, mon pourcentage de réussite était satisfaisant, ce qui me motive à continuer mes efforts pour être prêt à apporter lorsque l’occasion se présente, comme lors de notre match contre Nîmes, où j’ai eu plus de temps de jeu et ai pu contribuer plus activement en attaque.

Explication de la réussite offensive contre Nîmes

Lors du match contre Nîmes, où j’ai réussi un 6 sur 7, j’ai trouvé une bonne dynamique dès le début. Pour moi, la confiance joue un rôle central dans la réussite, et démarrer avec des actions positives, comme marquer rapidement et faire de bonnes passes décisives, m’a immédiatement mis en confiance. Ce rythme positif a ensuite favorisé ma réussite tout au long du match. Quand je suis dans cet état d’esprit, il m’est plus facile de trouver le bon timing et le bon tempo, notamment pour attaquer les intervalles ouverts sans ballon.

Cependant, cette confiance qui me porte en match est aussi un aspect à travailler pour qu’elle soit plus constante. J’aimerais atteindre un niveau où, même si mes premières tentatives ne sont pas fructueuses, je peux continuer à apporter et à avoir un impact. Par exemple, dans le match contre Chartres, Tom Pelayo, notre meilleur buteur, a été moins performant car bien défendu, et je n’ai pas pu compenser son manque de réussite. J’ai besoin de progresser pour être plus régulier et fiable, même lorsque mes premières actions ne sont pas idéales.

Améliorer l’efficacité des tirs de loin

Concernant mes tirs de loin, qui sont cruciaux pour mon poste, mon objectif est de gagner en précision. Ma taille et mon envergure (1,95 m) m’offrent une bonne capacité de saut, ce qui est un avantage pour les tirs de loin. Cependant, face à des gardiens de haut niveau comme Andreas Palicka, la précision devient essentielle. J’ai tendance à tirer souvent à mi hauteur, et même si mon tir est puissant, il doit être mieux placé pour être vraiment efficace. En discutant avec mon coéquipier et gardien Alejandro Romero, j’ai réalisé que mon placement de tir est assez prévisible en fonction de mes courses.

Pour progresser, je dois être plus varié et précis dans mes impacts de tir : alterner entre des tirs en hauteur, en bas ou des tirs croisés selon les mouvements du gardien. Le haut niveau exige de jouer avec les contres et les déplacements des gardiens, et c’est un aspect que je dois perfectionner.

Points forts et axes d’amélioration en attaque

Je pense que mes forces en attaque incluent ma capacité à fixer la défense grâce à mon temps de suspension en l’air, ce qui me laisse la possibilité de tirer ou de faire une passe au bon moment. Je peux réaliser des passes décisives, notamment vers le pivot, comme je l’ai montré lors du match contre Limoges en donnant deux balles à Benjamin Afgour. Face au PSG, mes courses dans l’intervalle externe m’ont permis de trouver deux bonnes occasions de tir. En résumé, mes qualités incluent la suspension, la passe au pivot, et la course dans les intervalles.

Cependant, mon jeu manque encore de régularité. J’ai parfois tendance à tirer alors que la défense anticipe bien mes intentions. Cela pourrait être évité en prenant de meilleures décisions au moment opportun : parfois une passe supplémentaire pourrait faire la différence. La prise de décision est donc un axe prioritaire pour moi.

Confiance et mental

La confiance est un élément clé de mon jeu. Avec plus de temps de jeu, j’ai tendance à me sentir mieux et à performer davantage. Je n’ai pas forcément besoin d’un coach extérieur, mais je dois concentrer mes efforts pour progresser dans ces domaines avec le soutien des entraîneurs et de mes coéquipiers actuels. Il s’agit pour moi de rester concentré à l’entraînement sur ces aspects précis pour être plus constant et atteindre une meilleure clarté dans mon jeu. Je suis confiant qu’avec du travail et de la patience, je vais parvenir à renforcer mon impact offensif et atteindre un niveau encore plus élevé

Gestion de la Frustration : Match contre Chambéry

Pour recontextualiser la situation, vous étiez menés d’un point quand l’arbitre a sifflé renvoi dans les dernières 30 secondes. À ce moment-là, Benjamin Richer a frappé le ballon dans la zone, ce qui, selon le règlement, aurait dû mener à un jet de 7 mètres pour anti-jeu. L’absence de VAR fonctionnelle a créé une certaine confusion. Je t’ai vu aller demander des explications à l’arbitre, emporté par un sentiment d’injustice. Comment as-tu vécu ce moment, et comment surmonter cette frustration pour se remobiliser pour le prochain match ?

C’est toujours difficile dans ces cas-là. Dans ce match, où chacun avait donné le maximum. On sait que tout le monde peut se tromper, mais l’absence de VAR, censée éviter ce genre d’injustice, a rendu la situation encore plus frustrante. Cela faisait des années que l’USDK n’avait pas gagné à Chambéry, et cette fin de match nous a vraiment laissé un goût amer. Malgré cela, il a fallu vite tourner la page pour se concentrer sur le match suivant, car notre métier nous pousse à continuer.

Intégration des Jeunes dans l'Équipe Professionnelle

Suite à l’expulsion de notre pivot, le jeune Zacharie a su s'imposer malgré la pression, ce qui n’était pas simple. Depuis quelques saisons, plusieurs jeunes talents, comme Zacharie et Tristan, rejoignent régulièrement l’équipe pro. Même si je suis encore jeune, je me rends compte que j’ai un rôle à jouer dans leur intégration. Dans le vestiaire comme sur le terrain, on essaie de les impliquer pleinement. Ils apportent beaucoup de talent et d’énergie, et leur présence est un vrai plus pour l’équipe.

Relation avec Tristan Gourguechon

Avec Tristan, qui a un profil similaire au mien, on travaille ensemble sur le poste d’arrière-droit. Bien qu’il soit réservé et ne demande pas beaucoup, on communique bien lors des préparations défensives. Je tente de le conseiller au mieux quand il en ressent le besoin. C’est important d’avoir une bonne relation et une confiance mutuelle, et jusqu’ici, cela se passe très bien.

Prolongation de Contrat jusqu’en 2026

J’ai récemment signé une prolongation avec l’USDK jusqu’en 2026, et j’en suis très heureux. Ce club m’a formé, et après neuf années ici, il est devenu une seconde famille pour moi. Malgré une diminution de mon temps de jeu, je voulais rester et continuer à progresser dans ce cadre que je connais bien, avec des coéquipiers comme Dylan et Gautier avec qui j’ai beaucoup partagé. C’était un souhait pour moi de rester à Dunkerque, et je suis ravi que cela ait pu se concrétiser.

Niveaux de Salaire en Liqui Moly Starligue

Concernant les salaires en Liqui Moly Starligue, il y a de grandes variations. Pour les jeunes venant du centre, les salaires tournent autour du SMIC. Dans des clubs comme Dunkerque, les joueurs peuvent gagner de 10 000 à 15 000 euros par mois, alors que dans des clubs de plus haut niveau, comme Nantes, Paris ou Montpellier, certains joueurs peuvent atteindre des salaires bien plus élevés, allant de 50 000 à 60 000 euros mensuels pour les joueurs de niveau mondial. Ce n’est pas vraiment un sujet dont on parle dans le vestiaire, donc je connais surtout les chiffres via les agents et les discussions de l’extérieur.

Nouvelle Arena à Dunkerque pour 2027-2028

Concernant la future salle de Dunkerque, on sait qu’elle est prévue pour 2027-2028, probablement près de la gare. Cela fait des années qu’on en parle, et même si je n’ai pas encore de détails concrets, ce serait incroyable de pouvoir y jouer. Pour nous, ça représenterait un saut en avant, surtout en voyant les nouvelles salles d’autres clubs. Ce serait un rêve de passer de notre salle actuelle à cette nouvelle infrastructure moderne.

Conseils pour Devenir Pro

Si j’avais un conseil à donner à des jeunes passionnés de handball qui rêvent de devenir pro, ce serait d’abord de garder le plaisir de jouer. C’est facile d’oublier que, même si c’est notre métier, c’est avant tout une passion. Se rappeler chaque jour de cette chance est essentiel. Pour progresser, bien sûr, il faut s’entraîner sérieusement et être prêt à faire des efforts supplémentaires, mais sans se prendre trop la tête. La détermination et l’envie de se surpasser sont les clés.

Santé, Nutrition et Récupération

En ce qui concerne la récupération et l’entretien de mon corps, nous avons accès à des équipements comme un bain froid dans notre vestiaire, ce qui aide beaucoup pour la récupération musculaire après les matchs. Un kiné est aussi présent quasiment tous les jours pour les massages et les étirements. Côté nutrition, j’essaie de boire beaucoup d’eau pour rester hydraté, surtout en cas de courbatures. Manger équilibré est aussi important, même si je ne suis pas toujours parfait là-dessus. Bien s’étirer après les entraînements et assurer un bon sommeil sont aussi essentiels pour rester en forme.

Jeu Concours : Gagnez un Ballon de la Liqui Moly Starligue dédicacé par Gabin Martinez

Pour les fans, on a un super jeu concours ! On vous offre la possibilité de gagner un ballon Select Ultimate Replica de la Liqui Moly Starligue, dédicacé par Gabin Martinez. Pour participer, il suffit de liker, partager et commenter l’interview. Un tirage au sort sera fait parmi tous les participants dans les commentaires d’ici au 6 décembre 2024. Bonne chance !

Matériel de Handball : Choix de Chaussures et Accessoires

En matière de chaussures, Gabin a testé plusieurs marques (Mizuno, Hummel, Puma) au fil des années. Ses principaux critères sont le confort et le maintien de la cheville, surtout pour éviter les entorses. Il apprécie les modèles Mizuno pour leur confort, et préfère des chaussures offrant un bon maintien au niveau de la cheville.

Côté accessoires, Gabin garde un équipement minimal en match et à l’entraînement, portant seulement des sous-vêtements de compression pour le maintien. Il évite tout ce qui pourrait le gêner sur le terrain.

Progresser à l'USDK et Encouragements

Gabin Martinez évoque son environnement à l’USDK comme propice à la progression. Il dispose de coachs compétents, d’un préparateur physique et d’un kiné, sans oublier de bonnes installations pour améliorer ses performances. Il souligne également la chance d’avoir Tom à ses côtés, un coéquipier avec qui il partage une belle complicité, malgré la concurrence sur le terrain. Il est conscient qu’il doit continuer à faire des efforts pour aller encore plus loin dans sa carrière.

Remerciements et Message aux Supporters

Gabin remercie chaleureusement les coachs qui ont cru en lui, notamment Yohann Delattre et Richard Demaret, qui l'ont accompagné depuis ses débuts. Il exprime également sa gratitude envers sa famille pour leur soutien constant. Concernant les supporters de l'USDK, il lance un appel pour les matchs à venir, notamment celui contre Montpellier le 23 novembre. Il insiste sur l'importance de leur présence pour soutenir l’équipe dans ces matchs cruciaux à domicile

Appel à l'Audience et Clôture

L’interview se termine avec un message de remerciements de Gabin pour l’opportunité de discuter et échanger avec les fans. Il invite les spectateurs à commenter, poser des questions ou à s’abonner pour ne rien manquer des prochains contenus. Il mentionne également une autre interview avec Sami Sahraoui, pivot du club de Hubo en Belgique, qui progresse bien et a récemment été sélectionné pour un stage de préparation avec l'équipe nationale d’Algérie. Un grand merci à tous ceux qui ont suivi cette interview !

Règlement du jeu concours
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